www.mat2020.com

www.mat2020.com
Cliccare sull’immagine per accedere a MAT2020

domenica 1 dicembre 2024

Gérald Massois - "Demain à l'aube" : commentaire Alberto Sgarlato


 

Gérald Massois: “Demain à l’aube”

(Autoproduction, 1er décembre 2024)

par Alberto Sgarlato


«Demain à l'aube», une autoproduction livrée au grand public à partir du 1er décembre 2024, est le nouvel album de Gérald Massois, multi-instrumentiste, compositeur et arrangeur français raffiné et brillant. Cet ouvrage constitue le deuxième chapitre d'une trilogie, commencée il y a sept ans avec l'ouvrage précédent, intitulé «Le vol erratique d'un papillon».

Le thème central de "Demain à l'aube" est la guerre civile espagnole: l'écriture de Massois est essentiellement biographique, car en écrivant l'intrigue, l'auteur s'est beaucoup inspiré des événements vécus par son grand-père. L'essentiel du travail, tant dans la composition que dans l'exécution, pèse donc sur Massois, mais avec une série de collaborations décidément prestigieuses sur la scène musicale progressive française: en effet, on retrouve Maxx Gillard (précédemment aux côtés de Massois) à la batterie, Jonathan Tavan à la basse, le coproducteur et co-arrangeur Nicolas Gardel, qui interprète quelques parties de piano et de synthétiseurs,  ainsi que la signature avec Massois de la seule chanson écrite "à quatre mains" sur l'album, à savoir "La bataille de l'Èbre, Pt. 2" ; et puis encore, toujours dans ce même morceau, Gionatan Caradonna de Profusion au piano. Et la liste des invités se poursuit avec Sarah Tanguy (violoncelle), Pierre-Emmanuel Gillet (guitare), Yohann Gros au piano.

Le concept s'ouvre avec "1939": les cordes poignantes qui introduisent le court titre déterminent déjà l'intensité émotionnelle qui traversera l'ensemble de l'album, avec un incipit digne de la bande originale d'un "blockbuster" de la cinématographie. Des cordes chaudes et enveloppantes s'entremêlent au son plus acide et doux-amer du Mellotron, tandis que les guitares acoustiques et le piano ponctuent le tout de touches habiles. Mais c'est peut-être dès le deuxième morceau, avec l'explosion de la guitare de Massois, à la fois agressive, atroce, mais aussi langoureuse, que l'on entre dans le vif du sujet: "Les ennemies d'hier" est une belle mise à l'épreuve du hard-prog symphonique, avec un chant théâtral qui raconte l'histoire, alors que guitares et claviers semblent se battre en duel.

Les deux pièces intitulées "La bataille de l'Èbre" et cataloguées sous les numéros "Partie 1" et "Partie 2" forment une seule suite de plus d'un quart d'heure. Le premier des deux morceaux sert d'introduction instrumentale au suivant, dans une alternance tourbillonnante d'acoustique et de métallique, de moments symphoniques et raréfiés, entre des riffs de guitare incandescents et, une fois de plus, des mélodies de guitare capables d'atteindre le cœur. La deuxième partie commence par le chant et le piano. Alors que le premier des deux moments transmet les sensations réelles de la bataille à travers les notes, le début poignant de "Part 2" évoque le décompte des morts dans les tranchées et des disparus sur le terrain, victimes d'un destin impitoyable et implacable. De belles prouesses à la guitare et au clavier dans l'alternance de moments tantôt plus sombres, tantôt plus intenses, disséminés tout au long des plus de 10 minutes du morceau.

"Les trains d'ombres", même avec ses crescendos et ses riffs, conserve la délicatesse de l'un des moments les plus intimes et mélancoliques de tout l'opéra, avec un final épique et émouvant.

"Une colline sans nom" prend forme progressivement, entre petites touches de piano, bruits ambiants et bruits, jusqu'à prendre forme dans un riff efficace soutenu par de solides tapis de clavier. Nous sommes face à une autre suite d'environ un quart d'heure, dans laquelle on peut particulièrement apprécier le grand travail de ciseau effectué par la solide section basse/batterie en joignant les différents moments de la chanson. Des suggestions arabes évoquées par des sonorités de luth, des guitares acoustiques à saveur flamenco, des orchestrations majestueuses et de splendides thèmes de guitare et de clavier qui se détachent sur des contours symphoniques sont les ingrédients de cette pièce longue et articulée, entièrement instrumentale.

"L'encre dex maux" est l'un des moments de l'album, en revanche, plus axé sur la forme classique de la chanson, soutenu par le chant sur un accompagnement de guitare acoustique, à côté duquel de légères touches de claviers se greffent.

Le calme avant la tempête, pourrait-on dire, puisque la pièce-titre est à nouveau une longue suite, introduite par les notes sombres du violoncelle, flanquée de contrastes par les accents étincelants du piano.

Le chant, initialement soutenu uniquement par le piano, devient progressivement plus intense et dramatique et avec lui l'arrangement énergique qui l'entoure, entre claviers symphoniques et choraux.

Vers le milieu, la chanson prend les contours du metal-prog, avec des affrontements furieux entre guitare et orgue Hammond distordu et un excellent support de basse et de batterie, qui tracent de brillantes lignes harmoniques/rythmiques.

Dans les paroles de ce morceau, les destins des deux frères protagonistes de l'album-concept se déroulent, séparés par les horreurs de la guerre, tandis que la musique nous guide vers un grand final d'une forte intensité émotionnelle.

La conclusion, avec le bruit des vagues de la mer, est confiée à "Les passagers du vent", une autre ballade mélancolique initialement menée par guitare acoustique, piano et voix, les autres instruments s'insérant progressivement jusqu'au final confié au solo de guitare, qui finit par s'estomper.

Trois comparaisons illustres pourraient venir à l'esprit à l'écoute de cet album :"The Snow Goose" de Camel, car il s'agit d'un autre concept centré sur la guerre (en l'occurrence la bataille de Dunkerque); "The Wall" de Pink Floyd pour le sentiment d'amertume et de désolation qui imprègne les différents morceaux; "Octavarium" de Dream Theater pour l'équilibre parfait entre sonorités énergiques et orchestrations symphoniques. Tout cela, cependant, emprunté à travers la grande sensibilité française pour le rock théâtral et dramatique, qui passe par des noms historiques tels que l'Ange, l'Atoll et Mona Lisa.

Album hautement recommandé, dans lequel tous les ingrédients sont parfaitement pesés et équilibrés, des parties acoustiques aux parties électriques, des moments les plus raréfiés aux plus majestueux.

Nous concluons en rappelant que Gérald Massois s'est également occupé du graphisme de l'album, avec la photo de couverture prise par Anke Sundermeier.


Tracklist: 

1. 1939 (3:01)

2. Les ennemis d’hier (4 :33)

3. La bataille de l’Ebre PT1 (5:22)

4. La bataille de l’Ebre PT2 (10:41)

5. Les trains d’ombres (5:51)

6. Une colline sans nom (14 :33)

7. L’encre des maux (4:46)

8. Demain à l’aube (13:39)

9. Les passagers du vent (5 :14)






Gentle Giant: il 1° dicembre 1972 usciva “Octopus”

The boys at Niagara Falls, 1972

Terminato il tour mondiale come “supporter” dei Jethro Tull (con visita alle cascate del Niagara...) i Gentle Giant, il 1° dicembre 1972 pubblicano l’ennesimo capolavoro, “Octopus”.

Di tutto un Pop…

Wazza

Quarto degli undici album di studio pubblicati dal Gigante Gentile, tutti entro la decade 1970/1980, “Octopus” è l’opera più nota, diffusa, celebrata e ricordata qui in Italia, a simbolo del loro momento magico presso di noi, quando se la giocavano alla pari con Pink Floyd, Yes, Emerson Lake & Palmer e Genesis da una parte (tutti in procinto di diventare ricchi e famosi) e Van Der Graaf Generator e King Crimson dall’altra (invece con un futuro, similmente a loro, circoscritto a semplice culto per appassionati e palati fini). Il progressive al tempo tirava da matti e quest’album stava dunque in cima alle classifiche italiane di vendita accanto a quelli, che so, di Lucio Battisti e Deep Purple, mentre la migliore formazione italiana dell’epoca, la Premiata Forneria Marconi, era in sostanza una devota combinazione fra loro ed i King Crimson…

Tempi irripetibili, ma “Octopus” riesce ad avvincere ancor oggi buona parte dell’ala più sofisticata e colta dei consumatori di musica. L’incontro e l’adattamento reciproco fra i sei musicisti che costituiscono la formazione ha dell’incredibile e dell’irripetuto, costituendo la peculiarità indubbia del suono Gentle Giant: avvenne a fine anni sessanta che tre fratelli dediti al rhythm&blues (Phil, Derek e Ray Shulman), ai quali si erano aggregati un chitarrista blues ed un batterista jazz (rispettivamente Gary Green e Martin Smith) sostanzialmente si misero nelle mani di un talentuosissimo compositore e multistrumentista di stretta educazione classica (Kerry Minnear), ben addentro anche alle cose del jazz ma piuttosto a digiuno di pop, rock e simili. Soprattutto, in possesso di preparazione ed inclinazione smisurate per il contrappunto, la poliritmia e la polifonia, applicati indifferentemente a strumenti, percussioni e voci.

Il fenomenale Kerry (in verità aiutato da Ray Shulman, in possesso a sua volta di ottimo talento compositivo) era una fucina di articolate e colte partiture melodiche, armoniche e ritmiche, di buon grado assimilate dai compagni, pur provenienti da contesti assai più popolari e “grezzi”. Questo grazie innanzitutto alla condivisa, generale apertura mentale ma non secondariamente a indispensabili, copiose doti di “orecchio”, fluidità e precisione esecutiva.

La proposta dei Gentle Giant prevedeva la piena azione di ben quattro voci e decine di strumenti (veri strumenti a corda, ad ancia, a tastiera e a percussione, in tempi in cui coi sintetizzatori si era ancora agli inizi e ci si tiravano fuori pochi suoni). Il solo Minnear era in grado di allungare le mani su pianoforte elettrico e acustico, organo, vibrafono e xilofono, mellotron, sintetizzatore, clavicembalo e clavinet, violoncello, flauto, oboe, percussioni… ma in concerto non si faceva scrupoli ad imbracciare anche una Fender Stratocaster, od a sostituire sporadicamente Ray Shulman al basso quando quest’ultimo era alle prese con violino, chitarra o tromba…

Del tutto peculiare anche il discorso sulle voci: arrangiate spesso e volentieri in contrappunto né più né meno come gli strumenti, costituiscono una caratteristica pressoché unica nella storia della popular music occidentale, che ci ha abituati da sempre a parti corali armonizzate grosso modo per terze e quinte, quasi sempre all’unisono o al più organizzate a botta e risposta. Non può che stupire, oggi più che mai, l’immersione nel lussureggiante canto contrappuntistico del Gigante Gentile, dove i cosiddetti “cori” sono spesso e volentieri un trafficato guazzabuglio di temi ad incastro con melodia, accento e divisione in battute autonomi, ciclicamente a convergere in improvvisi “nodi” per poi subito di nuovo divergere, per un effetto finale di sublime dinamica, vero cibo per le orecchie dell’appassionato.


Derek Shulman - Gentle Giant 1972

Chiunque si sia limitato a considerare l’inserto operistico architettato da Freddie Mercury nel celebre brano dei Queen “Bohemian Rapsody” come il massimo del virtuosismo corale applicato al rock, dovrebbe rivedere i suoi convincimenti anche solo dopo l’ascolto di “Knots”, quarta traccia di quest’album e ottimo esempio dell’estro e dell’eccellenza vocale della formazione: quattro voci a stratificarsi ed inseguirsi, prima a cappella e poi con preziosi intarsi di xilofono, violino, percussioni, basso, chitarra... Del tutto spettacolari, in particolare, i borbottii ad inseguimento sfocianti in un unico, distensivo, appagante corale; un vero caos organizzato coi quattro cantanti che riescono a tenere ciascuno la propria partitura e giungere a tempo al “nodo” finale, senza fuorviarsi l’uno con l’altro (beninteso, il brano era una delle colonne imprescindibili delle loro esibizioni dal vivo, nelle quali era riproposto pedissequamente e senza alcun problema).

Delle ugole a disposizione del gruppo, quella di Derek Shulman era la principale, la più potente ed estesa (ed anche la meno condizionata, specie sul palco, da contemporanei, complessi impegni strumentali), ma la più bella in assoluto resta quella di Minnear: un timbro che viene da altre epoche, elisabettiano, barocco, sorprendentemente lontano da qualsiasi stereotipo del nostro tempo. Zero swing, zero blues, zero rock, zero jazz in uno stile invece madrigalesco, rinascimentale, delicato e massimamente evocativo.

Il disco si apre proprio colla voce d’altri tempi del tastierista, che nel prologo della magnifica “The Advent of Panurge” va a descrivere un’ampia melodia e poi a raddoppiarla, a turno contrappuntandola o armonizzandola in un tripudio di quarte, seste e none d’alta scuola. Il brano prende poi consistenza strumentale e va ad appoggiarsi su di un pianoforte sincopato e veemente che detta la strada, comanda gli stop&go, stabilisce un’atmosfera carica di tensione e potenza, prende a duettare con una chitarra altrettanto risoluta. Si sta infatti rappresentando il gigante Gargantua, di Rabelaisiano estro, ed il suo incontro con il futuro amico della vita, Panurge. Tra continui cambi d’atmosfera, intarsi di tromba, pause distensive affidate ai corali, la canzone gode di una ricchezza e contemporaneamente di un equilibrio immani, il tutto in nemmeno cinque minuti di durata.



GENTLE GIANT - CIAO 2001 - MARZO 1972


Il mio brano favorito dell’album si è rivelato comunque essere, con l’andar degli anni, “Dog’s Life”, in virtù di una bellissima melodia (intonata da Phil Shulman ed appoggiantesi sulle sapienti chitarre acustiche di Green e di Ray Shulman) che riesce a non stancarmi mai: tre minuti magici, senza la complessità strutturale e ritmica degli altri episodi adiacenti, eppure di classe immensa grazie anche alla voce di Phil, ben distinguibile da quella degli altri per la sua precipua carica ironica. Altro episodio abbastanza lineare è “Think of Me With Kindness”, delicatissimo lento quasi solo pianoforte e voce (ancora di Minnear, più eterea e rarefatta che mai) in stile tutto sommato tradizionale, da ballata quasi pop, vicina grosso modo ai Genesis. Al suo esatto opposto, il vorticosissimo strumentale “The Boys in the Band”, una prova d’eccellenza dell’abilità strumentale del gruppo (arrangiativa, esecutiva e comunicativa, a partire dal prologo con la ripresa di una monetina gettata su di un tavolo e fatta vorticare fino a fermarsi).

“Raconteur Troubadour”, infine, può essere presa a buon esempio della capacità metamorfica del gruppo, in grado di passare dall’allestimento rock a quello cameristico anche più volte nella stessa canzone: con Ray Shulman al violino, Minnear al violoncello o all’harpsicord simulante un clavicembalo, Phil al flauto o a qualcun altro dei suoi fiati, più qualche leggera percussione al contorno, il Gigante Gentile ci ha lasciato bellissime pagine musicali molto più vicine alla concezione classica che a quella rock, facendo in particolare svettare in questi frangenti il violino di Ray Shulman (strumentista superbo, ancor di più al basso elettrico, senz’altro partecipante anch’esso al festival del contrappunto, con linee melodiche intricatissime e malgrado questo un’immutata, miracolosa potenza ritmica).



Due sono le ragioni principali del salto di qualità, in termini di riscontro critico e commerciale, fatto al tempo dal Gigante Gentile con questo quarto album: la prima è l’essere riusciti a contenere in otto canzoni di durata normale, eccezionalmente ben arrangiate, varie ed equilibrate, la loro proposta progressive invero sofisticata e impegnativa. La seconda è il cambio di batterista: fra tanti fini dicitori e arzigogolate esecuzioni, l’intuizione di affidarsi ad un solidissimo e pulito pestatore rock (John Weathers, appunto al suo esordio in quest’album e poi con i Giant fino al loro scioglimento), dopo un paio di batteristi molto bravi ma con molta meno “spinta”, fu ottima idea. Weathers rende il tutto molto più lineare, potente, definito, in definitiva meglio “digeribile” ed efficace per il pubblico del rock.

Beh… a riflettere ulteriormente, anche la vistosa copertina giocò un buon ruolo nella diffusione del disco. È indubbiamente una delle opere che meglio si ricordano dell’immaginifico Roger Dean, artista al tempo ricercatissimo dai discografici per dare valore aggiunto alle registrazioni degli artisti sotto contratto. Alle prese, come il solito, con aerografo e pennelli (niente computers al tempo), ma per una volta con una creatura perfettamente terrestre (e non la classica via di mezzo fra mitologia e fantascienza, come a lui d’uso) Roger, ispirato logicamente dal titolo dell’album, tira fuori una magnifica rappresentazione del curioso animaletto provvisto di otto tentacoli, una per ciascuna delle canzoni dell’album. Un grande, Roger Dean… spero per inciso che gli stiano arrivando parecchi diritti d’autore sia per le montagne sospese che per buona parte della flora e fauna aliena, in bella mostra nel kolossal “Avatar”: tutta farina esclusiva del suo sacco, farina degli anni settanta, riciclata in quest’epoca tecnologica ma stitica, nella quale un gruppo geniale, originale, brillante e sofisticato come i Gentle Giant possiamo sognarcelo, o meglio rimpiangerlo mentre ci ascoltiamo per la centesima volta “Octopus”. 

di Pier Paolo Farina

 


Nasceva il 1° dicembre del 1951 Jaco Pastorius


Nasceva il 1° dicembre del 1951 Jaco Pastorius: è stato un bassista, compositore e produttore discografico statunitense di jazz, fusion e funk, annoverato tra i più grandi bassisti di tutti i tempi e tra le figure simbolo del genere fusion.


Suonava generalmente un basso elettrico fretless, sul palco aveva anche un basso provvisto di tasti. Nonostante la brevità della sua carriera, ha determinato una rivoluzione totale per quanto riguarda il suo strumento: con il suo stile particolare è riuscito a caratterizzare il basso come solista e ridefinire il ruolo del basso elettrico nella musica, suonando simultaneamente melodie, accordi, armonici ed effetti percussivi. Per numerosi bassisti anche non inerenti al jazz (dal pop al rock) è un importante punto di riferimento.


La sera dell'11 settembre 1987 Pastorius si trovava al Sunrise Musical Theatre di Fort Lauderdale al concerto dell'amico Carlos Santana. Durante l'esibizione, dopo un assolo del suo collega Alphonso Johnson, Pastorius salì sul palco e sollevò la mano del bassista alla maniera degli arbitri di pugilato quando decretano il vincitore di un incontro. Fu però accompagnato all'uscita dagli addetti alla sicurezza, che non lo riconobbero. Pastorius si diresse quindi al Midnight Bottle Club, un locale nella periferia della città.



A causa del suo evidente stato di ebbrezza gli venne negato l'ingresso nel locale da parte del buttafuori esperto di arti marziali Luc Havan, un rifugiato vietnamita. Scoppiò una rissa e quando alle quattro del mattino arrivò la polizia, Jaco era steso a terra privo di sensi con il viso rivolto verso la pozza del suo stesso sangue. Havan, il buttafuori, sostenne di aver spinto Jaco, il quale era caduto battendo la testa. Il verbale della polizia riporta la perdita di conoscenza per un violento trauma cranico.

Fu immediatamente trasportato al Broward County General Medical Center, dove rimase in coma fino al 19 settembre, quando un importante vaso sanguigno del cervello si ruppe causandogli la morte cerebrale. Il 21 settembre i familiari decisero di interrompere il funzionamento dei macchinari che mantenevano il corpo in vita. Il battito durò per altre tre ore, fino alle 21:25, orario in cui venne dichiarato il decesso. Il funerale si tenne il 24 settembre a Fort Lauderdale. Havan venne accusato di percosse aggravate e pagando una cauzione di cinquantamila dollari venne rilasciato. (Wikipedia)



sabato 30 novembre 2024

Simon & Garfunkel: era il 30 novembre 1969

Il 30 novembre 1969, dopo il successo di “The Boxer” e “Bridge Over Troubled Water”, Paul Simon e Art Garfunkel registrano uno special TV, inserendo filmati del funerale di Robert Kennedy, della guerra in Vietnam, l‘inedita “Cuba sì, Nixon no”… troppo per i “bigotti” sponsor e funzionari TV. Morale della favola il programma fu censurato e non venne mandato in onda!

Di tutto un Pop…

Wazza


Simon & Garfunkel, East 58th Street, New York, 1969

Il 30 novembre 1969, Simon & Garfunkel appaiono nel loro primo speciale televisivo. Proiettano le riprese del funerale di Bobby Kennedy e della guerra del Vietnam; tutto questo porterà lo sponsor originale AT&T a dissociarsi dal programma…





"The Wall": era il 30 novembre 1979


Usciva il 30 novembre 1979 "The Wall", uno dei punti più alti raggiunti dai Pink Floyd e dalla musica progressive..
L'idea venne a Roger Waters, dopo una lite con alcuni spettatori durante un tour in Canada.
La voce del bambino che si sente in "Goodbay blue sky" è di Harry Waters, figlio di Roger.
Richard Wright appare in veste di ospite… all'inizio del progetto aveva abbandonato la band a causa dei continui litigi con Waters.
In Italia ha venduto più di un milione di copie.
…di tutto un Pop
Wazza 


Si prova la scena di "Mother" , dal film The Wall

Il 30 novembre 1979 esce  " The Wall ", doppio Lp dei   Pink Floyd . L'uscita discografica assume immediatamente i connotati di evento planetario ed epocale, certamente uno dei più importanti eventi della storia del rock. Il disco del muro, dei mattoni entra nella vita e nell'immaginario di milioni di persone. Un mito che si trasmetterà di generazione in generazione fino ai giorni nostri. A oltre 30 anni dall'uscita si contano circa 30 milioni di copie vendute, numero impressionant e per un disco doppio. I temi contenuti nell'album sono le vicende personali di Roger Waters. "The Wall" è soprattutto un disco dove Waters ha proiettato le numerose inquietudini e problematiche personali.

Contenuti che verranno successivamente rappresentati nella versione cinematografica del film di Alan Parker "The Wall". La storia è di Pink che è una rockstar che durante un massacrante tour sta consumando il rapporto con la moglie. Nelle lunghe giornate passate in solitudine in una anonima stanza di albergo tra un concerto e l'altro, Pink, nel vano tentativo di mettersi in contatto con la moglie, rievoca i fantasmi della sua esistenza, la morte del padre in guerra, l'infanzia difficile stretta tra l'atteggiamento iper-protettivo della madre e l'indottrinamento da parte di professori psicopatici. Simbolicamente le difficoltà e i traumi esistenziali diPink vengono rappresentati come mattoni che vanno a costruire un muro di isolamento che lo allontanano dalla realtà, fino a un completo isolamento. Pink capisce che potrà vincere la propria solitudine in un solo modo: deve analizzare la propria vita. Così si apre un processo mentale che lo porta ad abbattere il muro, eliminando le proprie difese ed esponendosi - nudo - ai propri simili. L'album si chiude con la ballata "Outside The Wall", poesia delicata, dal tono introspettivo, in cui Waters spiega come sia difficile rimanere sempre sani di mente: "Da soli, o in coppia, gli unici che realmente ti amano passeggiano su e giù fuori dal muro.
Alcuni mano nella mano e altri radunati insieme in comitive.
I cuori teneri e gli artisti oppongono resistenza.
E quando ti avranno dato tutto alcuni barcolleranno e cadranno, dopo tutto non è facile, sbattere il tuo cuore contro un muro di pazzi... »
Il brano "Comfortably Numb" è senz'altro il brano dell'album che più di tutti gli altri suscita emozioni profonde.



venerdì 29 novembre 2024

Un ricordo di George Harrison a 23 anni dalla morte. L'ultima apparizione alla televisione.

All things must past”… ma George ci sarà sempre!

Ci lasciava il 29 novembre 2001 George Harrison

Per non dimenticare!

Wazza

"Non sono che uno dei tanti che sa suonare un po' la chitarra. So scrivere un po'. Non credo di saper fare nulla particolarmente bene, ma credo che, in un certo senso, sia necessario che io sia esattamente così".

(George Harrison, 1971)


Nell'insieme non avrebbe proprio importanza se non avessimo mai fatto dischi o cantato una canzone. Non è importante quello. Quando muori avrai bisogno di una guida spirituale e di una conoscenza interiore che vada oltre i confini del mondo fisico. Con queste premesse direi che non ha molta importanza se sei il re di un paese, il sultano del Brunei o uno dei favolosi Beatles; conta quello che hai dentro. Alcune delle migliori canzoni che conosco sono quelle che non ho scritto ancora, e non ha neppure importanza se non le scriverò mai perché sono un niente se paragonate al grande quadro.”

(George Harrison)






giovedì 28 novembre 2024

Nel ricordo di Joe Vescovi, scomparso il 28 novembre 2014


Un ricordo per Joe Vescovi, che se ne andava il 28 novembre 2014.
Grande musicista con i Trip, Acqua Fragile, Dik Dik, Umberto Tozzi... 
RIP Joe!
Wazza









mercoledì 27 novembre 2024

Compie gli anni Daryl Stuermer, "membro permanentemente part-time" dei Genesis

Compie gli anni oggi, 27 novembre, Daryl Stuermer, chitarrista bassista, noto come “musicista itinerante”, nei Genesis e con Phil Collins solo.

Ha un’importante discografia da solista, oltre agli artisti sopracitati ha collaborato anche con Jean-Luc Ponty, George Duke…

Happy Birthday!

Wazza


October 1982 after the Six of the Best reunion concert: Steve Hackett, Peter Gabriel, Mgr. Tony Smith, Mike Rutherford, Phil Collins, Tony Banks, and Daryl Stuermer with the kids Tom Rutherford, Chris Smith, Kate Rutherford, and Ben Banks

From left to right - Luis Conti (percussion), Brad Cole (keyboards), Nathan East (bass), Phil Collins (the man himself), Daryl Stuermer (guitar), Gerald Albright (sax)


28 novembre 1974: ultima apparizione live di John Lennon al Madison Square Garden di New York


28 novembre 1974: ultima apparizione live di John Lennon al Madison Square Garden di New York 

Immagini fornite da Wazza



Chi lo avrebbe mai pensato che una scommessa persa con Elton John sarebbe stato il pretesto che avrebbe determinato l’ultima apparizione di John Lennon su di un palco dinanzi ad un pubblico pagante?



I primi mesi del 1974, come del resto gli ultimi del 1973, continuano ad essere vissuti da parte di John Lennon nello sbando più totale: lontano da Yoko Ono, “impegnato” sentimentalmente con la segretaria e collaboratrice May Pang, John continua a trascorrere il suo tempo ubriacandosi nel caos più totale con i compagni di avventura Ringo Starr, Harry Nilsson e Kehit Moon in quello che lo stesso John defìnì “The Lost Weekend”. L’ apice del delirio più assurdo fu raggiunto nella notte del 12 marzo 1974 quando John e Harry Nilsson furono cacciati dal Trobadour Club di Los Angeles per aver interrotto, ubriachi, l’esibizione dei Smothers Brothers.


Non soddisfatto dell’esito delle session di registrazione che avrebbero dato origine all’album “Rock’ n’ Roll” (con la famosa fuga con i nastri registrati da parte del produttore Phil Spector) John si impegna a produrre il decimo album dell’amico Nelsson, “Pussy Cat”. Le session di registrazione di questo album passarono alla storia poiché, per la prima ed ultima volta dallo scioglimento dei Beatles, in ben due occasioni (il 28 ed il 31 marzo 1974) ci fu il ricongiungimento fra John Lennon e Paul McCartney che furono coinvolti un due storiche jam session, per nulla interessanti dal punto di vista musicale, ma che sanciranno il riavvicinamento tra Paul e John dopo i dissidi che seguirono lo scioglimento dei Beatles. Così come per le session di “Rock ‘ n’ Roll” anche le session di “Pussy Cat” sono caratterizzate dal caos più totale, tanto che per portare a termine il progetto John deve abbandonare Los Angeles e tornare a New York. Lo spostamento di residenza determinava anche il ritorno all’ordine nella vita di John: una volta terminata la produzione dell’album di Harry Nelsson, a giugno, Lennon si dedica alla realizzazione di un suo nuovo album, il primo ad essere concepito in assenza di Yoko Ono, a partire dal 1968!!!


La lavorazione al disco parte con un impegno ed una serietà sicuramente maggiori rispetto a quanto fatto registrare nei mesi precedenti. Per una decina di giorni, nel mese di luglio, John si dedica ad un lavoro di pre-produzione negli studi di registrazione dove prova e riprova a suonare, per prendere maggiore confidenza con le canzoni che andranno a costituire il nuovo album. Le registrazioni vere e proprie si svolgeranno nel successivo mese di luglio negli studi Record Plant East con i seguenti musicisti: Klaus Voorman al basso, Jim Keltner alla batteria, Jesse Ed Davis alla chitarra, Arthur Jenkins alle percussioni, Ken Ascher al clarinetto, Nick Hopkins, Bobby Keys al sassofono ed Eddie Mottau alla chitarra acustica. Partecipò alla registrazione di “Whatever Gets You Throu The Night”, suonando il pianoforte ed ai cori, l’amico Elton John. 



Durante le sedute di registrazione i due amici scherzando fecero una scommessa: se “Whatever Gets You Throu The Night” fosse arrivata in vetta alla classifica di vendita dei 45 giri, allora John l’avrebbe dovuta eseguire dal vivo assieme ad Elton John. John accettò di buon gusto la scommessa, pensando che mai e poi mai quel brano avesse potuto conquistare il numero uno delle classifiche di vendita dei 45 di Billboard. Invece contro le più rosee aspettative il disco “Whatever Gets You Throu The Night”/”Beef Jerky” (Apple Records,  uscito in U.S.A. il 23 settembre 1974 su Apple 1874 ed in Inghilterra il 4 ottobre 1974 su Apple R5998) arrivò a conquistare la vetta delle classifiche di vendita dei singoli in U.S.A. per cui il 28 novembre 1974, per mantenere fede alla promessa fatta, un John Lennon nervosissimo salì sul palco assieme alla band di Elton John per quella che sarebbe stata la sua ultima apparizione dal vivo.


Nel pomeriggio dello stesso giorno, prima del concerto, i musicisti avevano provato il set con una versione molto rauca e tagliente di “I Saw Her Standing There” che fu registrata su nastro. Nello spettacolo serale John eseguì tre canzoni con la Band di Elton John. Iniziò con la sua hit del momento “Whatever Gets You Throu The Night” a cui fece subito seguito il più recente successo di Elton John che altro non era che “Lucy In The Sky Whit Diamonds” scritta a suo tempo da Lennon per l’abum “Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band” dei Beatles e che Elton John aveva inciso nel 1974 su 45 giri con “One Day At A Time” (sempre di Lennon) come lato B. La breve apparizione di Lennon sul palco del Madison Square Garden si concluse con la canzone “I Saw Her Standing There”, che John presentò in modo curioso: “Voglio ringraziare Elton e i ragazzi per questa serata. Abbiamo provato a pensare ad un numero col quale finire e andarcene, e abbiamo pensato di fare un numero di un mio vecchio fidanzato chiamato Paul. Questa è una canzone che non ho mai cantato, è un vecchio numero dei Beatles e lo conosciamo appena”. Il pubblico impazzì letteralmente. John per tutta la durata della sua breve comparsa masticò gomma americana, cercando di apparire calmo e distaccato. In mezzo al pubblico vi era anche Yoko Ono che potè osservare e constatare la solitudine del suo uomo. Nel backstage dello Show i due s’incontrarono e, se dobbiamo credere alle loro interviste del 1980 (poco prima della morte di John) gettarono il seme della loro riconciliazione.



John era veramente convinto che “Whatever Gets You Throu The Night” non avrebbe mai ottenuto tale successo, e questo viene anche confermato dallo stesso John in una intervista del 1980: “È stato il mio primo numero uno in U.S.A. “Imagine” non era diventata numero 1 (in U.S.A. n° 3 della Billboard Hot 100 chart  nell’ottobre del 1971; n° 6 in Inghilterra nell’ottobre 1975), “Istant karma!” nemmeno  (in U.S.A. n ° 3 della Billboard Hot 100 chart nel febbraio del 1970; in Inghilterra n° 5 della U.K. Singles Chart), tutti dischi che reputo migliori di “Whatever Gets You Throu The Night”.”;

Di fatto “Whatever Gets You Throu The Night” costituisce l’unico brano di John Lennon a raggiungere la vetta delle classifiche americane di vendita dei 45 giri da quando i Beatles si sciolsero nell’aprile del 1970.


Paradossalmente John fu, in ordine cronologico di tempo, l’ultimo dei quattro ex Beatles a raggiungere la vetta delle classifiche di vendita in U.S.A.

Infatti, in precedenza l’avevano già raggiunta George Harrison con “My Sweet Lord” (pubblicata in U.S.A. il 23 novembre 1970 con “Isn’T It A Pitty” come lato B) e con “Give Me Love (Give Me Peace on Earth)”  (pubblicata in U.S.A. su singolo il 7 maggio 1973 con  “Miss O’Dell” come lato B), Paul McCartney con “My Love” (pubblicata in U.S.A. come singolo il 9 aprile  1973 con “The Mess (Live at The Hague)”  come lato B) e con “Band On The Run” (pubblicata in U.S.A. come singolo l’ 8 aprile 1974 con “Nineteen Hundred And Eighty-Five”  come lato B) e Ringo Starr , addirittura con due diverse canzoni: “Photograph” (composta con Harrison e pubblicata come singolo in U.S.A il 24 settembre  1973 con “Down And Out” come lato B) e con “You’ re Sixteen” (composta dagli Sherman Brothers e pubblicata  il 3  dicembre 1973 con “A Devil Woman” come lato B).


Il brano non era assolutamente la prima scelta di Lennon per essere il singolo di lancio dell’album “Walls And Bridges”.  Fu scelto infatti dal vicepresidente della Capitol Records Al Coury, che aveva recentemente collaborato con Paul McCartney.

La fonte di ispirazione per la composizione di questo brano fu uno show televisivo che stava guardando in una tarda notte. May Pang, ex segretaria ed amante di John, dichiarò a Radio Times nel dicembre del 2005: “A John piaceva fare zapping di notte, e prendeva nota di qualsiasi cosa curiosa che ascoltasse in televisione. Una notte stava guardando in TV il celebre pastore evangelista di colore Reverendo Ike, che stava dicendo: “Lasciate che ve lo dica ragazzi, non ha alcuna importanza, Lui vi prenderà comunque durante la notte!”. John si innamorò al primo ascolto di questa frase e se la annotò sul suo taccuino che teneva a portata di mano vicino al letto. Questa fu la genesi di “Whatever Gets You Throu The Night”. 



In precedenza, all’ incisione di “Whatever Gets You Throu The Night” Elton John e John Lennon avevano già collaborato alla registrazione di altro materiale. Sempre nel 1974 Elton John incise “Lucy In The Sky Whit Diamond” (composta da Lennon nel 1967) in cui John compare alla chitarra ed ai cori, sotto lo pseudonimo di Dr. Winston O’Boogie. Questa versione raggiunse il primo posto nella classifica americana di Billbord Hot 100 per due settimane ed il decimo in quella inglese. La canzone fu pubblicata su singolo con lato B “One Day at a Time” che è un altro brano di Lennon (facente parte dell’album “Mind Games”): anche in questo brano John suona la chitarra.


Salendo sul palco del Madison Square Garden annunciato da Elton John la sera del 28 novembre 1974, prima di eseguire la canzone “Whatever Gets You Throu The Night” John lennon prova l’accordatura ed i volumi della sua chitarra accennando il riff di “I Feel Fine” successo dei Beatles del 1964 da lui composto;

Le tre canzoni incise in questo storico evento furono pubblicate in Inghilterra su DJM DJS 10965 nel marzo 198, senza seguire l’ordine esatto di esecuzione durante il concerto. Sul disco, infatti, l’ordine delle tre tracce era il seguente: “I Saw Her Standing There”, “Whatever Gets You Throu The Night” e “Lucy In The Sky Whit Diamonds”.

Paradossalmente l’ultima canzone interpretata dal vivo da John Lennon, “I Saw Her Standing There” fu la prima canzone del Lato A del Long Playing di esordio dei Beatles “Please Please Me” pubblicato in Inghilterra nel 1963.




lunedì 25 novembre 2024

Gentle Giant: 25 novembre 1973


Su Ciao 2001 del 25 novembre 1973, articolo sui Gentle Giant: si parla del nuovo album uscito ad ottobre, "In A Glass House".
Album "tosto", ogni volta che partiva il brano "Runaway", mia madre urlava..." ma che stai a rompe !!!"
Wazza


In a Glass House dei Gentle Giant è un album che segna un punto di svolta nella carriera di questa band leggendaria del rock progressivo.

È il primo disco registrato dopo l'abbandono di Philip Shulman, uno dei fratelli fondatori. Nonostante questa perdita, la band dimostra una grande capacità di adattamento e di rinnovamento, mantenendo inalterato il suo sound caratteristico. 

Pur mantenendo la complessità e l'originalità che li contraddistinguono, i Gentle Giant mostrano in questo album una maggiore maturità compositiva, con brani più strutturati e meno sperimentali rispetto ai lavori precedenti.

L'album ha un'atmosfera più intima e riflessiva rispetto ai precedenti, con testi che affrontano tematiche più personali e introspettive.

È un ottimo punto di partenza per chi vuole avvicinarsi a questa band, in quanto rappresenta un buon compromesso tra la loro produzione più sperimentale e quella più accessibile.

Le opinioni su questo album sono piuttosto discordanti. Alcuni lo considerano un capolavoro, altri un passo falso rispetto ai precedenti lavori. In ogni caso, è un disco che non lascia indifferenti e che merita di essere ascoltato con attenzione.

La copertina dell'album è molto particolare e rappresenta il mitico gigante ridotto a una maschera da ritagliare e indossare, un'immagine che ben si adatta all'atmosfera introspettiva del disco.